Oui, l’été a été chaud : nous avons assisté à une augmentation inédite des températures terrestres et océaniques sur la planète, qui ont à nouveau provoqué des catastrophes climatiques partout dans le monde, ce qui augmente encore le nombre de réfugiés climatiques.
Et ça a duré comme l’avait annoncé Météo France : mi-septembre il faisait encore 20 degrés la nuit et jusqu’à 30 degrés le jour. Du jamais vu dans le monde récent !
Au niveau local, bien que la communauté de communes Tarn-Agout a approuvé définitivement son plan climat 2023-2029, avec le lancement des premières actions (logement, mobilité, eau, énergies renouvelables…), la majorité municipale à Lavaur ne s’est pas émue de cette situation climatique et la politique municipale est restée muette sur le sujet. Le projet de PLU arrêté en séance le 12 juillet en est un bon exemple. Ou l’état sanitaire des arbres plantés depuis deux ans à la demande du maire et qui sont quasiment tous morts sur pied.
Lire les articles pour le PLU 1 et 2
Mais l’été a été chaud aussi en raison des comportements du maire de Lavaur, qui a manqué à son devoir de neutralité sur plusieurs sujets (« migrants » à Réalmont, violences dans les quartiers) et a piétiné sans état d’âme la présomption d’innocence (« affaire des pommiers 1 & 2 »).
Plutôt que d’apaiser la situation le Maire a soufflé sur les braises, a désigné des innocents à la vindicte populaire et a porté des accusations graves à l’encontre de collectifs citoyens voire d’élus locaux qu’il a appelé sans cesse avec beaucoup de mépris -peu républicain- des « écolo-gauchistes ».
Nous avons réagi par voie de communiqué de presse le 21 juillet et via une conférence de presse le 22 juillet